Commentaires des internautes

Année 2007

Le 8 décembre

Monsieur, j´ai constaté un erreur dans votre web qui fait réference à une communaute autonomique espagnole. Vous appelez Vieille-Castille à Castilla y La Mancha, cela c'est un erreur puisque Vieille-Castille, c'est-à-dire Castilla la Vieja est actuellement une part de Castille-et-León. La Vieille Castille était composée des provinces de Santander, Burgos, Logroño (La Rioja), Soria, Ávila, Segovia. Actuellement, cela n`existe pas, sauf comme region culturelle, pas administrative.

La région à laquelle vous faites réference s'appelle Castilla-La Mancha (Toledo, Ciudad Real, Cuenca, Albacete, Guadalajara). Vous pouvez consulter l´article de la wikipedia http://es.wikipedia.org/wiki/Castilla-La_Mancha

De toute façon, je considère que votre web est très complet et bien fait. Mes felicitations! Excusez moi pour mon français.

José Luis Garrido

Le 24 novembre

I would like to tell you how much I have appreciated your web pages on the language problem in Belgium. I have been reading both the Dutch and French accounts of the current political crisis, as well as various forums where both Flemish and Walloon opinions are in evidence - especially the Débats section of the newspaper Le Soir. Do you know of any other message boards of interest, especially in Dutch? Your discussion and maps have been very helpful and informative. I also wanted to point out one small error, in the following paired Dutch and French statements of the first article of the Traité de Taalunie (URL: http://www.cafan.ulaval.ca/AXL/europe/belgiquefla.htm):

Artikel 1
De Taalunie heeft tot doel de integratie van Nederland en de Nederlandse gemeenschap in België op het gebied van de Nederlandse taal en letteren in de ruimste zin.

Article 1
Le royaume de Belgique et le royaume des Pays-Bas, par la présente Convention, créent l'Union de la langue néerlandaise (Taalunie) ci-après dénommée l'Union linguistique.

It appears that the Dutch version is in reality Article 2, and is repeated as such just below. I presume that the text of the real Article 1 is given by the French version. A very small detail only.

I intend to read other sections of your treatment "l'aménagement linguistique dans le monde." Thanks for your work.

Tim Carmell

Le 23 novembre

Je suis étudiante en France, à l'université de Savoie. Je dois faire une dissertation sur Bonheur d'occasion de Gabrielle Roy et je tenais à vous remercier car votre site m'est d'une grande utilité pour comprendre le contexte politique, linguistique et sociologique de l'oeuvre. Merci du temps que vous avez consacré à la réalisation de ce site.

Gaelle Gallo-Bona, Université de Savoie

Le 20 novembre

Bonjour, je viens de lire dans l'intégralité l'article que vous avez posté sur la Martinique et j'aimerais vous dire que j'ai été choquée au plus au haut point par de nombreux éléments ! Tout d'abord j'aimerais vous dire qu'il n'existe pas de population noire en Martinique mais métissée, le fruit d'un métissage historique qui en fait l'île la plus métissée de la caraïbe Je ne crois pas qu'on puisse séparer descendants d'Indiens, d'Africains ou de colons, vu que 100 % de la population est métissée blanc/noir et 95 % avec des Indiens. Je trouve simpliste la caricature que vous faites de cette île a se demander si votre analyse a réellement été fondée sur des éléments de recherches précis ou à la galleria le dimanche après-midi. Ailleurs, je vous ferais remarquer que les Békés ne détiennent que 20 % de l'économie et, bien que ces dernier gardent une certaine influence, de nombreux cas montrent que les mentalités changent (cas de Génipa). De même que sur le plan de la politique économique, sachez que la Martinique est la région de France recevant le moyen d'aide de l'État et la première en matière de création d'entreprise. De ce fait, je pense qu'il faut arrêter ce genre de représentations négatives qui ne reflètent en rien la réalité socio-économique du pays.

Laurence Minatchy, Martinique

Le 20 novembre

Je m'appelle Emmanuelle, je suis étudiante en Master 1 de FLE. Je dois effectuer un dossier et j'ai choisi de m'intéresser à la politique linguistique de l'État espagnol. Votre site est vraiment très bien fait, très clair et facile d'utilisation.
J'ai cherché quelques livres de la bibliographie que vous avez indiquée, mais il est quasi impossible de les trouver en librairie. Pourriez-vous m'indiquer quelques auteurs ou ouvrages sur le sujet?

Emmanuelle Slomianowsk.

Le 19 novembre

Bravo pour votre article sur la réforme linguistique d'Atatürk. J'en ferai un bref compte rendu avec la citation du discours d'Atatürk et quelques phrases clés, en ne manquant pas de citer vos coordonnées et l'adresse URL de la page. Son titre sera quelque peu provocateur, mais cela n'engage que moi. Je le placerai sur le site alfograf.net.

Louis Rougnon-Glasson

Le 19 novembre

Suite aux évènements communautaires secouant la Belgique ces derniers mois, j'ai voulu en savoir plus... je pense être tombé sur le bon site. Moi qui n'y connaissais rien, j'en sais un peu plus sur l'historique des querelles linguistiques belges. Travail impressionnant; félicitation.

Johann V., Belgique

Le 7 novembre

Je suis une étudiante à l'Université Laurentienne à Sudbury. J'écris présentement une dissertation au sujet de l'anglicisation des francophones au Nouveau-Brunswick. J'ai visité votre site web, si vous me permettez de dire, qu'il est une source incontournable. J'aimerais savoir si vous avez des articles, des études, ou peu importe, sur l'anglicisation au Nouveau-Brunswick. Plus spécifiquement, les conséquences des mariages mixtes, du faible taux de reproduction linguistique et de l'immigration. [...]

Josée Blanchette, Sudbury (Ontario).

Le 6 novembre

J'ai 14 ans et j'ai découvert votre site super! Je l'ai découvert au cour d' une recherche en anglais et j'ai trouvé l'indicateur du nombre de personnes venues sur la page; très bien c'est un petit truc, mais il est bien! Laissez le! Au revoir. Bonne continuation!

N. Poirier, France.

Le 25 octobre

Je vous écrits concernant votre article sur la Barbade, que j'ai bien apprécié. Cependant, il y a quelques points qui me semblent à corriger ou qui portent à réflexion. Premièrement, la population de Bridgetown est de 80 000 et non 8000 (une coquille sans doute). Ensuite, concernant les Caraïbes. Il faut faire attention en ce qui concerne les prétentions de cannibalisme. Oui, il est possible que cela faisait partie de leurs cérémonies religieuses, surtout en temps de guerre. Cependant, les descriptions de tels actes sont faits par des Européens, qui, de cette façon, légitimaient leur mise en esclavage. Les descendants des Caraïbes ou les Garifunas ainsi que certains historiens des Caraïbes contestent ce fait.

Enfin, concernant votre propos sur la politique linguistique. Lors de mon dernier séjour à la Barbade, j'ai discuté avec plusieurs personnes de cela, surtout de votre dernier paragraphe alors que vous parlez de faire du bajan la langue officielle et de maximiser son utilisation dans les affaires publiques et les médias. Il ne semble pas que ce soit leur volonté. Si je peux me permettre la comparaison, le bajan est, pour eux, un peu comme un joual. Si vous discutez avec des Barbadiens de diverses classes sociales et de divers métiers, vous voyez une importance différence, comme une gradation du niveau de bajan, du difficilement compréhensible pour un locuteur anglais, à l'anglais presque britannique avec quelques tournures ou expressions bajanes. Alors que les plus éduqués peuvent passer aisément d'un à l'autre selon la situation ou la personne à qui ils s'adressent (dans un rum shop ou dans une réunion d'affaire), les moins éduqués ont de la difficulté. Les personnes qui ne peuvent faire cette transition sont un peu mal vus, sauf pour des raisons identitaires ou artistiques (comme l'utilisation du joual ici). Alors, ils en sont fiers.

Alors que les Barbadiens tentent de se faire reconnaître sur la scène internationale d'ouvrir leurs marchés (CARICOM, unions diverses avec l'Afrique, UNESCO, présidence de l'ICOM), je ne crois pas qu'il y aurait avantage à changer la situation actuelle. Seulement quelques Barbadiens diront qu'ils parlent bajan et non anglais. Le bajan est, de plus, une langue essentiellement parlée, pour laquelle il faudrait refaire un dictionnaire en entier (présentement, ils l'écrivent au son). Les enseignants n'accepteraient pas cela. C'est comme si au Québec on se mettait à enseigner le joual comme langue première à l'école et le français comme langue seconde.

Enfin, je ne crois pas que cela soit un enjeu de taille pour eux, ni une priorité ou une nécessité ou même souhaitable. Votre dernier paragraphe donne l'impression d'une certaine lâcheté face au colonialisme et nous pousse à comparer à ce qui a été fait en Haïti. Cependant, la situation était alors très différente, la séparation de la métropole s'est faite beaucoup plus tôt et le créole était beaucoup plus éloigné du français. Pour certains chercheurs d'ailleurs, en raison de l'indépendance tardive de la Barbade et de l'éducation britannique, le créole barbadien serait tout simplement disparu. Ce serait aujourd'hui un dialecte ou un accent. Les traces africaines sont en effet très anciennes et pratiquement disparues, pour peu qu'on soit capable de les relier directement à des langues africaines. De plus, aucun anglophone de naissance n'est complètement incapable de comprendre le bajan. Il s'agit là de discussions, je ne suis pas linguiste, mais je m'intéresse énormément aux bajanophones, que j'apprécie beaucoup. Quant à moi, l'anglais étant ma langue seconde, j'ai mis quelques mois à m'habituer, mais maintenant, ça va assez bien, sauf lorsqu'ils ont pris beaucoup de rum et parlent à une vitesse incroyable en jouant aux dominos!

Mes meilleures salutations et merci pour cet article très intéressant.

Nathalie Bilodeau, Barbabe-Québec.

Le 12 octobre

Je vous envoie cet email pour tout d'abord vous féliciter pour un site Web fascinant sur l'histoire de la Louisiane et sur l'origine du dialecte créole et cajun. Je dois faire une présentation pour mon cours de linguistique ici à l'université de Suny Cortland sur la dialectologie du cajun, et j'aimerais savoir s'il serait possible de me servir de quelques faits historiques, tableau de vocabulaire et autres cartes mentionnés sur votre site? Je suis également à la recherche de documents, livres et articles divers qui traitent de ce sujet. Pourriez-vous me recommander des ouvrages publiés en langue française ou anglaise? Merci beaucoup.

Thierry Toréa, Cortland (USA).

Le 10 octobre

Je trouve excellent votre site sur les langues du monde : il est très informatif et très agréablement présenté. En ce qui concerne l'Union indienne, l'État du Tamil Nadu attendait depuis longtemps la reconnaissance du tamoul comme "langue classique" (cf. aussi lettre du professeur G. L. Hart de Berkeley dans LCCP, no.38, de déc. 2002, site: www.puduchery.org).

Enfin, cette langue dravidienne a été reconnue depuis quelques années comme "langue classique". Vous pourriez ajouter cette précision à la prochaine mise à jour. Par ailleurs, si vous (ou votre entourage) êtes intéressé par des traductions de célèbres poèmes français en Tamoul, je suggère de lire les numéros récents de LCCP (pour avoir les caractères tamouls, il faut télécharger une police et c'est indiqué à la fin de la page d'accueil).

En renouvelant mes félicitations et vous souhaitant bonne continuation,

M.Gobalakichenane, Cercle culturel des Pondichériens (Orsay, France)

Le 4 octobre

Je trouve votre site très bien fait pour intéresser mes enfants à la géographie et l'histoire. J'aimerais savoir quel utilitaire vous avez utilisé pour créer votre site. Merci. Un lecteur curieux...

Sylvain Bayard, P. Québec

Le 30 septembre

Très intéressant votre panorama de l'Italie. J'aimerais bien, si cela peux vous intéresser, vous aider à récupérer d'autres informations sur mon pays multiculturel. Et où en ce moment arrivent presque deux millions d'étranger par an. Très cordialement.

Elio Vera, membre du comité de direction de SIETAR EUROPA

Le 11 septembre

Félicitations pour votre site. Cordialement.

Harold Tremblay, P. Québec

Le 2 septembre

Félicitations ! Pour votre site qui est très bien fait. Bonne continuation.

Marie-F. Landry, P. Québec

Le 2 septembre

J'envisage d'utiliser votre site dans le cadre d'une activité sur l'Afrique avec mes élèves. Je souhaite, grâce à votre travail, leur montrer la diversité linguistique de ce continent et l'impact de la colonisation dans le domaine culturel. Serait-il possible d'avoir quelques éléments me permettant de présenter l'auteur du site à la classe?

Vincent Caillavet, Jarville (France)

Le 18 août

Je viens de «re-découvrir» votre site et comme la première fois je le trouve excellent et très bien fait : un modèle du genre. Je serais heureux de le mettre dans mes liens et suis heureux de vous demander l'autorisation de le faire. Je suis très attaché au respect de la diversité culturelle et linguistique et prends des positions sur ce point. Je reste à votre disposition. Cordialement.

Gérard Gautier, Saint-Brieuc

Le 14 août

Un grand merci pour cette merveille de site Web sur les langues du monde !

Munia Ewanjé, Epee Boggio

Le 2 août

Bonjour M. Leclerc ! Quel travail vous faites !!! Je lui rends un petit hommage ici:

http://www.montraykreyol.org

Savez-vous que le tamoul et l'hindi, entre autres langues de l'Inde, ont été parlées aux Antilles Françaises, et le sont encore en Caraïbe. Bien à vous,

Jean S. Sahaï, Guadeloupe

Le 1er août

Bonjour. Le site "Aménagement linguistique dans le monde" est fabuleux. Existe-il un équivalent en format papier? Merci.

Sylvie Laliberté

Le 23 juillet

Je voudrais vous poser une question un peu... bizarre. J'aimerais savoir s'il y a des critères que chaque loi linguistique doit respecter, comme par exemple un canevas de points essentiels qui doivent être traités dans la loi pour qu'elle puisse être appelée loi linguistique. En plus, qu'en est-il des lois linguistiques des universités? Quand le législateur se met à en composer une, d'où est-ce qu'il part?

Dans l'espoir que mes idées ne vous paraîtront pas si farfelues,


Luminita Ciumpe

Le 18 juillet

Bonjour,

Sur votre site, vous listez les départements français, ainsi que la préfecture de chacun et la région d'appartenance. Votre site est d'ailleurs très bien fait, j'ai plaisir à le consulter.

Pour le département de l'Ain, vous indiquez que la préfecture est "Bourg". Si ses habitants l'appellent ainsi (ils prononcent "bourk"), le nom complet est Bourg-en-Bresse, et c'est toujours ce nom complet qui est mentionné par écrit.

Une autre remarque : la carte que vous fournissez est très bien faite, avec les départements qui se différencient par couleur et les régions par gamme de couleur. Cependant, vous ne faites pas ce que font la plupart des cartes des départements de France, à savoir apposer une carte qui zoome la région Ile-de-France et ses minuscules départements (agglomération parisienne oblige), et le nom de ces départements n'apparaît donc pas. C'est dommage, mais ça vient peut-être d'une difficulté technique, je comprendrais alors que vous n'ayez pas procédé ainsi.

Encore merci et félicitations pour votre site.


Clément Bécache,

Le 3 juillet

Cé koi ce simili drapeau stupide qui figure sur votre site (La Réunion)? vous en avez du temps à perdre. Allez à plus.

Jean Dalleau, La Réunion

Le 26 juin

Dear M. Leclerc,

Regarding your new article about "L'andalou", I must confess I thought you were more professional and serious when writing about these language topics, it is highly debatable to state what you already consider to be an oppressed "language".

On the other hand, it is very shocking you do not even take the risk to talk in the same way about the joual or/and quebecois, which I think, are a far cry more different from standard French that the group of Spanish varieties spoken in the South of Spain. Of course, for you there is no doubt about it, they are French, French Quebecois, even if some people in France need dubbing for undestanding films like "La grande séduction" or "CRAZY".

You should have more diverse information sources to make such a categorical statement, based in just one article from a single person.

Regards from a "granaíno" from Granada,


Antonio J. Molino, Andalousie

Le 19 juin

Bonjour, merci pour votre site, véritable mine d'or pour l'étudiante que je suis. Je voulais simplement vous signaler que l'actuel président du Ghana est John Kuoffor, élu en janvier 2002, puis réélu en janvier 2005. Cordialement,

Claire Dasylva-Coulange, Ghana

Le 6 juin

Merci infiniment pour votre site sur l'aménagement linguistique dans le monde. C'est un travail colossal que vous nous faites partager.

C'est juste pour vous signaler que les ÉWÉ ne sont pas seulement au Togo. Une grande partie du centre et sud ouest du Ghana, anciennement appelée Togo britanique, et qui a été rattachée au Ghana actuel après la 1e guerre mondiale par la Société des Nations (en effet, accédée aux anglais qui l'on rattachée à leur colonie) est peuplée par les ÉWÉ. Ils sont même plus nombreux au Ghana qu'au Togo. Ceci est juste pour vous permettre de mettre les informations à jour.

Encore une une grand merci et bonne journée.


Kwamé Béké, Ghana

Le 22 mai

Je suis une étudiante espagnole de 4º année de Philologie française (équivalent de Lettres modernes, spécialisée en langue française). Je vous remercie de vos dossiers sur l'Histoire de la langue française dont je me suis servie pour étudier l'une des quatre matières que je dois encore passer pour être définitivement licenciée après six longues années d'effort et travail.

Vous avez construit une site magnifique. Mercie beaucoup

N.B. : Par rapport à un commentaire que j'y ai lu sur l'andalou, «dialecte» ou «langue». Avant tout, il faut dire que je suis andalouse (née à Cadix) et, à mon avis, l'andalou en tant que dialecte obtiendra un jour (on ne sait pas quand?) le statut de langue, parce que c'est un dialecte très répandu et avec des traits très marqués et clairs. De même que je crois que qu'il a des traits et évolutions semblables à l'évolution du français sur les consonnes finales (syllabes finales), etc., mais cela, c'est un autre sujet (dont que sais-je si, un jour, j'écrirai un livre!! Rêver, c'est gratuit!). Cordialement

Lucía C.G., Cádix (Espagne)

Le 16 mai

Ce petit mot pour vous dire ce que j'aurais du faire plus tôt. Félicitations. Votre Web sur l'aménagement linguistique est un précieux outil qui fait honneur à vous et à Laval. Bien cordialement.

Jean Laponce, Colombie-Britannique.

Le 16 mai

Je ne sais pas si vous avez besoin de félicitations, en tout cas moi je veux vous féliciter pour votre site que je viens de découvrir en cherchant comment je pourrais aller apprendre le russe en Russie. La richesse du contenu, de la forme, de la fluidité de la navigation de votre site est de qualité supérieure qui fait apprécier grandement l'outil de recherche qu'est Internet. Merci pour toute cette information que vous rendez accessible.

Paul Morissette, Thetford Mines (Québec).

Le 15 mai

Super site, vraiment. Clair, intéressant, juste ce qu'il faut, pas trop. Merci!

Rob Gehrke, sans lieu

Le 2 mai

Je trouve votre site formidable, une excellente source pour toute recherche linguistique. Avez-vous l'intention de le traduire en anglais afin d'en faire profiter encore plus de gens? Merci.

Cora Bastiaansen, Utrecht (Pays-Bas)

Le 28 avril

Merci pour toutes ces connaissances sur les langues que vous avez présentées d'une façon aussi facile d'accès. Je suis tombée dessus par hasard et, au lieu de travailler, je suis restée sur votre site plusieurs heures (quatre heures), allant d'une page à l'autre, revenant en arrière, etc. Je ne sais pas qui est derrière ce site, mais vous m'avez donné des réponses à des questions sur les langues que je me posais depuis de nombreuses années. C'est là où l'Internet prend toute sa dimension.

Je sens que votre site va devenir une de mes destinations préférées, rien que pour le plaisir de la connaissance et de la compréhension. Merci, même si ce n'est certainement pas pour des gens comme moi qu'il a été créé ou peut-être que si, je ne sais pas.

Je suis française, vivant en Angleterre depuis 24 ans et suis devenue prof de français par chance et non par formation. J'adore mon métier, mais en 24 ans mon français s'est bien rouillé et parfois je me sens bien inadéquate de l'enseigner. Merci encore pour cette après-midi de pur plaisir.

Isabelle, Angleterre.

Le 25 avril

Votre site me plaît beaucoup, mais j'ai un critique sur l'Afrique du nord, car ils sont pas des Arabes à 100 %, ils sont colonisés pas des Arabes, donc d'origine berbère. En Algérie par exemple, il y a l'amazighité ou le kabyle comme langue nationale parlée par le peuple d'origine : "les Berbères". Ils ont une langue spéciale et une culture aussi. Meilleures salutations,

Kaci Yassine, France.

Le 24 avril

Je tiens tout d'abord à vous féliciter pour votre site et la richesse des informations sur les pays et leurs langues. J'habite dans le district bilingue de Biel-Bienne canton de Berne en Suisse. Pour avoir un interlocuteur représentant la minorité francophone, il y a deux institutions pour assurer le respect de la diversité culturelle et linguistique dans cette partie francophone du canton Berne et du district de Biel-Bienne :

Le Conseil du Jura bernois (CJB) http://www.conseilregional-jb.ch/
et le Conseil des affaires francophones du district bilingue de Bienne (CAF) http://www.sta.be.ch/site/fr/asr-caf

A la différence du Conseil du Jura bernois, le Conseil des affaires francophones du district bilingue de Bienne n’est pas une institution liée à un territoire mais à une population habitant un territoire déterminé, en l’occurrence aux personnes de langue française domiciliées dans le district de Bienne. [...]

Avec mes compliments,

Roger Zimmermann, Bienne.

Le 22 avril

Votre site est tellement passionnant que je l'ai inclus dans ma liste de liens "Afrique". Cordialement.

Jean-Michel Renouard, France.

Le 20 avril

Permettez-moi tout d'abord de vous féliciter pour votre excellent travail. Ce site représente un vrai outil pédagogique et il est, sans doute, le meilleur site de ce type à l'échelle mondiale.

Malheureusement, certains articles ne respectent pas la déontologie professionnelle et, du point de vue méthodologique, ces articles sont assez « faibles ». Je vous donne l'exemple de l'article consacré à la Roumanie. La bibliographie utilisée est surprenante. Vous savez, par exemple, que Suto Andras a été un stalinien de pure laine avant de devenir un nationaliste hongrois (évidemment, après la chute du régime communiste... - n.b.)? D'ailleurs, l'idée d'utiliser cette bibliographie est similaire, mutatis mutandis, à l'idée d'une histoire de la nation québécoise écrite à partir des propositions de lord Durham ou des déclarations des activistes montagnais ou cree. Enfin, la rédaction de l'article pourrait être décevante pour un professeur d'histoire. Vous dites, par exemple, sans indiquer les sources, que « de façon générale, les minorités estiment que la Roumanie est un 'État unitaire' qui pratique le 'nettoyage ethnique' », même s'il n'y a pas d'effusion de sang ». Mon Dieu! Honni soit qui mal y pense, mais pourriez-vous faire une liaison entre la Loi 101 et la disparition presque complète de la minorité anglophone au Québec? Why not? De façon générale, la minorité anglophone estime que... Évidemment, un « nettoyage ethnique » sans « effusion de sang »...

En espérant une réelle amélioration du contenu de certains articles et une révision sérieuse de la méthodologie, je vous félicite encore une fois, mon cher monsieur, pour votre site.


Cristian Ionita, Montréal

Le 20 avril

Parti butiné sur le Net, à la recherche d'informations sur l'Europe, je suis tombé sur vos articles très complets sur l'ensemble des pays européens... Cela fait maintenant plus de deux heures que je lis avec soin et intérêt leur contenu. J'aime beaucoup votre écriture. On vous sent plus qu'un fervent défenseur du français. Le sous-dossier concernant le francophonie et le français du Québec m'a passionné. Je crois que tous les Français ont de plus en plus d'admiration pour vous, qui savez être si simple, si direct, ne vous embarrassant pas de la langue de bois de l'hypocrisie hexagonale, qui n'a d'ailleurs pas du tout cour dans la brousse calédonienne, là ou le français a des parfums parfois si étonnants.

Bravo et bon courage. Je reviendrai passer encore quelques instants sur votre site à l'avenir.

Philippe  Le Guerroué, Koné, Nouvelle-Calédonie.

Le 15 avril

Je viens de consulter une nouvelle fois votre fantastique banque de donnée sur le site du CAFAN. Je vous félicite pour la mies à disposition de cette précieuse mine d'informations sur les pays plurilingues, leur droit et politique linguistiques! Afin de contribuer à l'amélioration, je vous rends attentif au fait que votre "carte linguistique" du canton suisse de Fribourg n'est pas correcte. En fait, grosso modo, la partie au nord de la capitale Fribourg devrait être indiquée en rouge (c.-à-d. appartenant à la langue allemande). [...]

Afin de vous donner les moyens de corriger, je vous envoie en annexe deux cartes qui vous permettront de tracer la "frontière des langues" sur le territoire du canton de Fribourg. La carte détaillée (partie au nord de la ville de Fribourg) est tirée de la page 346 de l'ouvrage suivant publié il y 3 ans:

ALTERMATT, Bernhard (2003): La politique du canton de Fribourg-Freiburg 1945-2000: Entre innovation et improvisation, coll. "Aux Sources du temps présent", vol. 11, Fribourg, Université de Fribourg, Suisse.

Avec mes meilleurs salutations,

Bernhard Altermatt, Fribourg.

Le 15 avril

Je trouve votre site bien fait et très bien documenté. Je suis une élève de troisième et j'ai participé il y a peu de temps à un voyage scolaire d'une semaine au Danemark. J'en suis revenue enchantée et je dois à présent écrire un article sur le système scolaire du Danemark. En cherchant dans Google, je suis arrivée par hasard sur votre site, et je l'ai trouvé vraiment très intéressant. Je me suis servie de quelques-unes des informations contenues dedans afin de compléter mon article.

Je voudrais à présent solliciter votre autorisation afin de mettre dans mon article un lien vers la page de votre site qui parle du Danemark, car ma classe va à présent créer un site Web qui résumera notre voyage, avec des articles sur divers sujets à propos du pays visité. Je vais envoyer mon article à ma professeur d'anglais avec le lien afin qu'elle puisse le voir et je lui dirais si vous êtes d'accord ou non.

Je vous remercie par avance, Monsieur, et sachez que je me tiens à votre disposition pour toute information complémentaire si vous en avez besoin, par exemple si vous désirez lire mon article.

Je vous adresse mes salutations respectueuses,

Camille Daube

Le 13 avril

Je me passionne à la lecture de vos articles sur les langues. Concernant la langue franque, je me permets de signaler que les dialectes flamands parlés dans le Nord de la France et en Belgique sont bien des langues issues des Francs (et en partie les Saxons) qui ont colonisé ces régions très tôt. Le francique lorrain n'est donc pas la seule langue réminiscente des langues d'origine franque. Cordialement,

Philippe Verwaerde, France.

Le 27 mars

Je trouve votre site remarquablement bien fait, il m'a appris beaucoup de choses, notamment la partie consacrée à l'histoire du français. Je voudrais savoir s'il existe une version PDF ou imprimable des chapitres pour pouvoir lire ailleurs que derrière mon écran. Merci.

Jérôme Passot, France.

Le 25 mars

J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre article sur les langues nationales au Cameroun. Nous pourrons chaque fois que cela est possible vous apporter notre contribution pour compléter les informations sur le sujet. Il me plaît déjà de faire observer que l'article en question a divisé le Cameroun linguistique en trois: l'Extrême nord, le Sud et l'Ouest. Le Cameroun compte à ce jour dix divisions ou provinces, chacune regroupant diverses ethnies et langues locales. C'est pour cette raison que ce pays compte pas moins de trois cents ethnies pour trois cents langues.

Je souhaite que dans la prise en compte de cette configuration, vous puissiez dissocier la province de l'Est du Sud-Est qui n'existe pas ou du grand Sud. En le faisant, je vous communique déjà les ethnies et langues de cette province pour actualiser votre article. La province de l'Est est en effet composée des ethnies et langues ci-après: les Makas, Bakoum, Badjoué, Bikélé, Kaka, Baya, Ndjem, Vonvon.

En vous souhaitant bonne lecture, je reste en attente de vos réactions et de demande de précisions sur des aspects qui vous intéressent.

Bedjoko Mbassi, Cameroun

Le 21 mars

 J'ai été très impressionné par votre article minutieusement documenté sur la politique fédérale linguistique des États-Unis. Je suis tout à fait d'accord avec la lien que vous faites entre impérialisme linguistique et expansion culturelle et économique au détriment des intérêts des autochtones.

En tant que professeur d'anglais (!) dans le sud de la France depuis plus de trente ans, j'ai constaté cette domination de plus en plus impérieuse de l'anglais sur les autres langues et je me désole pour mes collègues professeurs d'allemand, d'italien et, dans une moindre mesure d'espagnol, qui ont de plus en plus de difficultés à avoir des élèves, ce qui, bien sûr, entraîne une réduction des crédits consacrés à ces langues minoritaires, pour ne pas dire mineures, dans l'esprit de nos élus. Ainsi s'installe un cercle vicieux : moins d'argent, moins de classes, etc.

Cette aspiration des Américains à l'universalisme de leurs valeurs, loin d'entraîner le monde sur le chemin du "rêve américain", est un appauvrissement culturel et génère une ignorance des autres qui peut être porteuse de dangers pour les autres peuples.

Vous évoquez dans votre article l'emploi de l'anglais dans les publications scientifiques internationales et les représentations que cela entraîne chez le lecteur américain non averti. Je parle parfois à mes élèves de la difficulté pour le cinéma européen de se faire connaître aux USA, en raison, d'une part, du peu d'engouement des Américains pour les films en version originale, mais surtout du verrouillage des organisations professionnelles qui interdisent de fait le doublage en anglais des films étrangers, empêchant ainsi leur diffusion dans le grand public, ce qui permettrait des comparaisons enrichissantes.

Les Québécois font l'admiration de beaucoup de Français pour leur capacité à résister à l'hégémonie linguistique de l'anglais et à mettre en oeuvre des moyens propres à préserver leur langue et leur culture : je pense, entre autres, au renouveau de la chanson francophone canadienne, au point même qu'elle connaît un grand succès en France !

Chez nous ce serait impensable ! Malgré quelques lois et règlements qui limitent la part des productions culturelles anglophones sur nos ondes et nos écrans, la progression est inexorable, car la puissance financière bouscule tout. Je suppose qu'on s'en rendra compte quand ce sera trop tard !

Merci de décrire tous ces phénomènes et de nous éclairer grâce à votre expérience. Vous contribuez ainsi à l'indispensable diversité culturelle de notre monde.

Cordiales salutations de France,

Henri Ventre.

Le 20 mars

Je suis François Blanc, adjoint au chef de la Mission économique (ME) de Taipei, à Taiwan. J’ai lu avec intérêt l’article que vous consacrez à Taiwan et à sa situation linguistique intéressante, à l’adresse http://www.cafan.ulaval.ca/axl/Asie/taiwan.htm.

Je me permets de vous signaler que nous ne verrions que des avantages à ce que la ME de Taipei figure au rang de vos références bibliographiques, et notamment son site http://www.missioneco.org/Taiwan/. La ME fournit en effet tout un ensemble d’informations gratuites de nature économique, mais aussi plus générale (en sus d’informations payantes), notamment sous la forme de fiches de synthèse, qui sont accessibles sur le site.

Je me permets en outre de vous signaler une petite inexactitude dans le chiffre de la population taiwanaise que vous indiquez, qui n’est plus de 21,5 Millions d’habitants, mais de 22,87951 habitants à la dernière estimation en janvier 2007.

Je reste à votre disposition pour toute information que vous jugeriez utile,


François Blanc, conseiller économique et commercial adjoint, Taipei (Taiwan)

Le 15 mars

Je m'appelle Denise Di Capua, et je suis une estudiante en comunicaçion à l'Université des etrangeres de Perugia (ITALY). Je suis très désolée pour ma langue française, mais le français n'est pas ma primére ou deuxième langue. J'ai vu votre Web Site parce que je suis en train d'escrire une thèse sur la "Comunidade dos paises de lingua portuguesa", et donc sur la politique linguistique du Portugal. Je n'ai pas bien compris une chose, parce que sur le Web Sites vous parlez d'une "politique linguistique de valorisation" de la langue portugaise, mais dans la session des "politiques linguistiques", le portugais est considéré comment "Politiques linguistiques d'internationalisation", et non comment "Politiques de valorisation de la langue officielle". Mais si je vais dans la session de la langue portugaise, là vous parlez de "La politique de valorisation du portugais au plan international ".

J'espère que vous pourrez me comprendre, aussi si je sais que est très difficile de comprendre le français que j'ai escrit.

Denise Di Capua, Italie.

Le 13 mars

Je m'appelle Daniel Garrido et je suis espagnol de Madrid, bien que ma famille soit d'origine andalouse. Je vous écris, car je suis vraiment choqué d'avoir lu dans votre page (assez ajustée à la réalité par ailleurs) qu'il existerait une LANGUE ANDALOUSE, distincte de l'espagnol ou castillan!

Je ne sais pas d'où vous auriez sorti cette idée étrange qui, en Andalousie même, n'est défendue que par une minorité assez excentrique de radicaux illuminés. Les parlers andalous, puisqu´il en existe plusieurs, et parfois différents entre villes et villages d'une même province, ne sont que des variantes dialectales de la seule langue castillane, la seule langue parlée de l'Espagne au Chili, de Cuba à l' Argentine...

Les variantes dialectales de l'espagnol américain sont dans une grande mesure évoluées à partir de particularismes andalous, puisque de Séville et Cadiz partaient les vaisseaux qui reliaient la Péninsule aux territoires d'outre mer.

Je voudrais aussi noter que les plus grands écrivains espagnols en langue espagnole ou castillane sont des andalous: Depuis Antonio de Nebrija, qui au XVe siècle à composé la première grammaire au monde d'une langue moderne (le castillan), Luis de Góngora (un des meilleurs poètes du siècle d'or) Juan Valera, et surtout au XXe siècle les grands poètes de la génération de 1927: Federico García Lorca, Rafael Alberti, Luis Cernuda. Actuellement, l'académicien et écrivain très populaire Antonio Muñoz Molina.

L'espagnol parlé en Andalousie est d'une grande richesse syntaxique, de vocabulaire et extrêmement élégant. Il est aussi l'un des plus corrects castillans au monde, bien qu' il soit parlé par de gens instruits ou du peuple. Seule la prononciation orale des Andalous, quand ils parlent (ils "avalent" les consonnes, et même des syllabes entières), peut faire penser à une langue différente de l'espagnol qui se parle un peu plus au nord, mais il faut noter que l'intelligibilité est totale, puisque les variations andalouses sont toujours les mêmes, et tous les Espagnols sont habitués à les écouter.

Que quelques nationalistes andalous se croient descendants des califes Oméyades ou du prophète Mahomet, bien que tous soient d'origine léonaise, aragonaise ou castillane, et qu'ils aient inventé une orthographe phonétique pour représenter l'oral andalou, ne fait pas une langue nouvelle qui n'existe pas, puisqu'elle n'est qu'un dialecte de l'espagnol.
 

Daniel Garrido, Madrid.

Le 12 mars

Dans le message transféré plus loin, j'ai reçu une réponse contenant un lien vers votre site, que j'ai parcouru avec attention. Je vous félicite pour la qualité de ce travail de recherche et d'information. [...]

Carmen Serghie Lopez, Nice.

Le 7 mars

Je vous salue cordialement et vous félicite pour ce grand travail que vous effectuez via le Web. Je suis impressionné par la qualité et le professionnalisme de votre démarche. Je vous souhaite d’aller de l’avant sans vous laisser décourager par les incompréhensions. Monsieur Leclerc, je voudrais profiter de cette occasion pour solliciter votre aimable autorisation pour pouvoir utiliser quelques éléments de l’article sur l’histoire d’Haïti dans le cadre d’un programme spécial que je dois préparer à ce sujet. La richesse de votre présentation me laisse comprendre qu’elle me sera très utile. [...]

Dans l’attente d’une réponse favorable de votre part, je vous prie, Monsieur , de recevoir mes meilleures salutations.

Franck Doristil, Radio Eben-Ezer Internationale

Le 3 mars

Quelle manie de vouloir nous inculquer la langue catalane au valencien. Les Catalans veulent nous piquer Valencia à cause du territoire riche en agriculture sans laquelle les Catalans son soumis au régime cailloux. Non, la langue valencienne n'est pas la catalane, un point c'est tout, messieurs.

Manuel Pedroche, Valencia.

Le 27 février

Permettez-moi de vous adresser ce message à propos de votre site Internet « Aménagement linguistique dans le monde ». Je m’appelle Min Reuchamps et je suis doctorant en sciences politiques à l’Université de Liège, Belgique. Tout d’abord, permettez-moi de vous féliciter pour la richesse de votre site… c’est une véritable mine d’information ! D’ailleurs, nous avons suggéré la lecture de votre page sur la Belgique à nos étudiants dans le cadre d’un séminaire comparant les fédéralismes belge et canadien donné par le prof. Bernard Fournier. Lors de la discussion aujourd’hui en classe, nous nous sommes rendu compte qu’une erreur s’était glissée dans la page sur la Belgique (http://www.cafan.ulaval.ca/AXL/Europe/belgiqueetat.htm).

Sous 1.1 un État fédéral, régional, communautaire, 5ème paragraphe, dernière ligne, vous écrivez :

« En Belgique, Régions et Communautés demeurent hiérarchiquement subordonnées au gouvernement central — l'État belge —, même si, dans certains cas, il existe des champs de juridiction exclusifs et qui s'exercent de façon autonome, voire souveraine. »

Cependant, les Régions et les Communautés ne sont, en droit, pas hiérarchiquement subordonnées au gouvernement central/fédéral puisque le décret est « équipollent » à la loi depuis la création des Communautés, d’abord, et des Régions, ensuite. Le statut de l’ordonnance bruxelloise appellerait un peu plus de précisions. Je me permets de faire cette remarque en toute modestie.

En vous félicitant à nouveau pour la richesse de votre site, je vous prie de recevoir, Monsieur Leclerc, mes salutations distinguées.


Min Reuchamps, Département de sciences politiques, Université de Liège.

Le 26 février

Je consulte avec intérêt votre site depuis que je l'ai découvert. Je fais une thèse sur l'histoire du livre saami en Finlande. J'ai cadré ma recherche sur les années 1820-1920. Il est cependant utile de connaître la situation actuelle. Nous ne pouvons pas étudier des faits historiques en ignorant la situation actuelle. M'autorisez-vous à utiliser les textes que vous avez traduit de l'anglais <http://www.cafan.ulaval.ca/axl/europe/finlande_loi-same2003.htm> ? Du moins pour ce qui concerne mon sujet.

Sophie Capdeville

Le 19 février

Je viens de consulter votre site, en faisant une recherche sur l'Algérie, qui est mon pays d'origine; je voudrais intervenir sur un point, vous dites que l'Algérie est un pays arabe, alors que ce n'est pas le cas, c'est un pays d'origine berbère, nous parlons l'arabe qui est la langue de la religion, les Arabes sont de l'autre côté, près de l'Arabie Saoudite. Je pense qu'il faut faire une distinction entre parler arabe et être arabe. D'ailleurs, les pays arabes ne nous considèrent pas comme un pays arabe. Et finalement la nouvelle génération comme moi ne maîtrise pas aussi bien que ça l'arabe, nous parlons plus français, et nous regardons la télévision en français. Toutefois, il y a d'autres jeunes qui, eux, ne parlent que l'algérois et ne sont pas bons en arabe littéraire!!

Je sais que tout est compliqué, mais je tenais à  vous donner mon avis, même  beaucoup de mes compatriotes ne connaissent pas l'histoire du pays et vous diront:  «Non, on est un pays arabe.»

Amiratr Nesrine, Algérie.

Le 12 février

Je vous félicite pour votre site qu'un de mes auteurs (Michel Lafon) m'a fait connaître. Connaissez-vous la collection que je dirige aux éditions de l'Harmattan (liste jointe)? Je suis sceptique sur l'intérêt de listes de langues non triées. J'ai publié un répertoire simpifié des langues africaines qui répond plus aux besoins (environ 400 langues). Quand je rencontre une liste qui se veut complète, on trouve bien des redondances de langues qui portent plusieurs noms.

Michel Malherbe

Le 10 février

Étant tombé par hasard sur votre magnifique site «Aménagement linguistique dans le monde», toutes me félicitations pour l'immense et beau travail que vous y divulguez. Outil magnifique pour des études comparatives! Bravo de tout coeur,

Manex Pagola, anthropologue socioculturel, un Basque de Bayonne / Baiona.

Le 6 février

Votre site est des plus intéressants, mais... le corse n'y est pas très présent, pourquoi? Nous, nationalistes, nous nous battons pour que notre langue vive, nous sommes en survie, et chaque reconnaissance de cette langue est un pas vers sa pérennité, alors ajoutez-la, s'il vous plaît, dans votre site.

Elisabeth Studd, Ringrazi (Corse)

Le 5 février

Je vous écrits pour vous remercier d'avoir conçu un si beau site. Mon parcours a quelque peu divergé depuis les dernières années et maintenant, j'essaie de voyager au maximum avant de m'établir un jour et débuter ma carrière. Puisque je suis maintenant en études commerciales, je réalise que l'important n'est plus seulement de pouvoir communiquer avec les autres, mais surtout de les comprendre. Votre site m'est donc devenu un atout essentiel.

Voilà tout, je suis actuellement en Chine et je m'apprête à commencer la lecture de cette section, car je crois que cela pourrait m'aider en entrevue. Je suis désolé pour les fautes de français, je n'y prête pas beaucoup d'attention lors d'écriture de courriels. Merci encore.

Yvon Luangxay, un Québécois en Chine.

Le 1er février

Votre site est une mine sans fond ! Bravo.

Denis Grasser, Guadeloupe.

Le 26 janvier

Je voulais vous féliciter pour les pages que vous dirigez. Elles réunissent des informacións de grande valeur sociolinguístic et je crois que je passerai beaucoup de heures devant d'elles. Mon nom est Valentim R. Fagim, je suis du galicien, et activista pour ma langue, le portugais de Galice ou galicien.

Je travail en cette page: www.agal-gz.org.  En ce site nous avons une section dans laquelle nous publions des textes que nous envisageons interessants. Je voulais vous demander permission pour traduzir et editar en notre site la section «Petite histoire de la Belgique et ses conséquences linguistiques». Le cas flamenc a toujours été beaucoup intéressant pour le mouvement linguistique galicien et les informations en ce site sont précieuses. J'ai publiés plusieurs articles enveloppe ma langue et si je peux être de quelque utilité, je serai enchanté de collaborar. Je reste en attente de votre réponse. Attentivement; p.s. disculpi mon français.


Valentim R. Fagim, Galice.

Le 16 janvier

Monsieur, je tiens tout d'abord à vous féliciter pour votre site et la richesse des informations. Nous avons nous-même emménagé dans une commune suisse à la frontière linguistique (Ipsach près de Bienne), où la communauté francophone représente 8 %. Vos informations sur le canton de Berne sont tout à fait exactes. Étant français, nous avons souhaité dans un premier temps scolariser notre fille aînée à Bienne,  dans une école francophone. Mais cela nous a été refusé, et on nous a servis l'exemple de Mörigen. Français, francophones et amoureux de notre langue, nous essayons au quotidien de la promouvoir. Mais nous avons été surpris par l'inexistence d'un milieu associatif francophone, tel qu'au Canada, dans notre région. Pour cela, vous expliquez très bien le consensus suisse. Mais les populations étrangères et francophones sont ici de plus en plus présentes, et je souhaiterais créer dans l'avenir une association francophone, pour aider les nouveaux arrivants et permettre aux autres de se retrouver, ou de défendre leurs droits. Afin de ne pas réinventer la roue, seriez-vous nous recommander un ou des exemples d'associations, dans des configurations équivalentes (communautés francophones d'Ontario ou Nouveau-Brunswick ?)?

Je vous remercie par avance et vous félicite encore pour tout ce merveilleux travail !

Avec mes salutations respectueuses,

Nicolas Coursault, canton de Berne, Suisse

Le 13 janvier

Monsieur, je viens allonger encore un peu plus la liste des félicitations pour le travail remarquable que vous partagez avec nous tous, internautes. J'apprécie aussi beaucoup que votre site soit en langue française, alors même que son sujet pouvait laisser attendre un site anglophone...

Je prévois de faire l'an prochain un travail - modeste - sur l'évolution des aménagements linguistiques existants en France, en
Allemagne et en Russie pour les langues des signes. Quand je suis tombée - un peu par hasard - sur votre site, j'en ai profité pour chercher une page sur les langues des signes, mais il me semble que vous n'en ayez pas de spécifique. Les seules mentions que j'ai trouvées étaient parfois dans les textes de lois de l'un ou l'autre pays.

Évidemment, "sourd" n'est ni un peuple, ni une nation pouvant aisément figurer sous cette étiquette dans l'index alphabétique, d'autant qu'il y aussi des locuteurs entendants dans la communauté linguistique des «signeurs». Pourtant, il pourrait être intéressant de donner un panorama de ce qui se fait en matière d'aménagement linguistique pour les différentes langues des signes, justement parce que c'est une problématique qu'on commence seulement à prendre en compte dans les lois. Avoir des outils de comparaison sur ce qui a déjà pu se faire en matière de politique linguistique ailleurs est toujours très précieux.

[...] En attendant je vous remercie encore une fois pour votre geste en faveur de notre patrimoine linguistique et vous souhaite une année 2007 riche de découvertes intéressantes. Recevez, Monsieur, mes respectueuses salutations,

Siglinde Pape (France)

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